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Réflexions sur les médias sociaux

L’influence des réseaux sociaux en pédagogie

Dans la vie courante, notre identité personnelle se construit par nos comportements, notre personnalité, nos savoirs, et nos interactions avec autrui. Avant la venue des sites de réseautage social, le partage d’informations personnelles se manifestait devant un groupe restreint de personnes qui vivait ce partage en temps réel. De nos jours, ce n’est plus le cas avec le degré de connectivité et d’archivage automatique des informations que constitue le monde de l’internet.

Il serait donc déraisonnable de fermer les yeux aux nouveaux phénomènes sociaux populaires tels les sites de réseautage. En effet, selon Facebook, le dominant à ce sujet, « Facebook contient plus de 500 millions d’utilisateurs actifs, dont 50 % sont actifs de façon quotidienne. De plus, en moyenne chaque personne possède environ 130 amis. » Il est fort probable que tous les élèves de nos classes possèdent un compte et que certains ne sont pas informés de leur identité numérique et des conséquences d’avoir une telle identité. En effet, lorsque ce partage d’informations se fait de façon irréfléchie, des conséquences d’ordre relationnelles peuvent survenir, sans que l’on s’en aperçoive. La vidéo « L’internet est un endroit public » démontre ce message de façon simple et efficace. Le visionnement d’une telle vidéo en salle de classe permettrait de sensibiliser les jeunes au contenu qu’il est préférable de garder pour soi-même ou de partager avec des personnes responsables et averties. La ligne qui sépare notre identité numérique à notre identité personnelle est très mince et une erreur de jugement peut franchir cette ligne et nous nuire dans notre vie personnelle. Dans un tel cas, il est plus simple de prévenir que de réparer des dommages sur certains aspects relationnels comme la réputation ou la perception fautive que les autres peuvent se faire de soi.

C’est probablement avec cette logique que la vidéo « You need to get off Facebook » fut créée, mais je crois que celle-ci n’offre aucune solution. Dans cette vidéo assez prétentieuse et qui cherche à diaboliser Facebook, l’auteur déclare ne pas porter de jugement, mais selon lui, les utilisateurs de Facebook sont des « closet social pervert ». Des mots forts de conséquences et qui m’ont dégoûté lors du visionnement. Pendant sa vidéo, des pancartes mentionnent « LOL » et le lexique d’utilisateurs d’internet comme si Facebook l’avait inventé… Quant à son argument sur le nombre parfois impressionnant d’amis, un ami Facebook est surtout un contact social. C’est le lien social que deux personnes qui se connaissent, beaucoup ou peu, décident d’entretenir avec un consentement mutuel par l’entremise d’un outil social. Pour moi, c’est un message plutôt raté qui ne soulève rien sauf une vision anecdotique d’un outil social très populaire, parmi tant d’autres… Il ne fournit aucune bonne raison pour quitter Facebook (son message principal). Beaucoup de style, peu de substance.

En tant qu’enseignant, l’utilisation des réseaux sociaux doit se faire avec précaution. Notre identité personnelle peut facilement influencer notre identité professionnelle, lorsqu’exposée à un environnement public comme Facebook. L’exemple classique est celui de l’enseignant qui serait vu avec une bière à la main sur différentes photos, un élève qui ne respecte pas l’enseignant pourrait partir des rumeurs d’alcoolisme de l’enseignant avec ces photos comme preuves à l’appui. Une simple action anodine comme prendre une bière pourrait s’amplifier en devenant une attaque à la réputation et à l’image que l’enseignant doit avoir en étant un modèle pour ces jeunes. Ce fut d’ailleurs un sujet d’une discussion animée avec un ami. Sa question : « Pourquoi devrais-tu faire de l’autocensure et cacher une partie de ta personnalité, alors que tout le monde est libre de partager ce qu’ils veulent avec les autres? » Cette question d’autocensure m’a bouleversé! Après réflexion, je suis venu à la conclusion que cette autocensure n’est qu’un contrôle essentiel dans la construction d’une identité professionnelle et surtout une façon de se protéger des mauvaises intentions futures possibles. La discrétion devient d’autant plus importante. Je suis contre la censure lorsqu’elle s’applique à du contenu légal et protégé par notre charte des droits et libertés, mais nous avons une responsabilité supplémentaire envers notre image. Toutes ses précautions dans le but d’éviter des conflits ou des incidences sur nos relations interpersonnelles et professionnelles.

« Les réseaux sociaux ne sont que le reflet de notre société »

Twitter comme vecteur de construction d’une identité numérique

Twitter est un outil très populaire depuis quelques années. Celui-ci peut permettre de construire une identité numérique, mais je crois que ses limites surtout au niveau du nombre de caractères de messages font de cet outil surtout un complément aux autres outils disponibles. C’est un bel outil pour construire un réseau social professionnel de grande qualité et pour partager des découvertes rapidement, mais il ne permet pas un partage d’opinions ou de réflexions comme l’offre un blogue, Facebook ou un forum de discussion. Selon moi, la communication qu’offre Twitter est surtout unidirectionnelle, sinon concise. On partage un lien intéressant avec quelqu’un et on ne peut s’attendre d’avoir une rétroaction détaillée et profonde de notre partage comparé à celle que nous recevons des autres dans un forum de discussion comme celui-ci. Par contre, en comparaison avec Facebook, c’est un excellent moyen de former un réseau social avec des étrangers qui partagent les mêmes intérêts que nous. De cette façon, on peut recevoir des informations de personnes ayant une expérience riche dans les domaines de notre profession. Ce réseau que Twitter permet de construire devient une composante pouvant définir notre identité numérique.

L’importance de la communication avec les parents

Je crois que l’utilisation des courriels pour communiquer avec les parents demeure la solution principale. De cette façon, les communications avec les parents peuvent être archivées par les serveurs de l’institution scolaire. De plus, cette façon de communiquer me semble plus professionnelle par l’utilisation de notre compte gouvernemental.

Par contre, l’utilisation des blogues et des autres médias sociaux peut être une excellente porte d’entrée des parents dans l’éducation de leurs enfants. Ils pourraient suivre le progrès de ceux-ci et offrir des rétroactions et du renforcement positif à chaque projet partagé. Je pense à l’école Centre d’apprentissage du Haut-Madawaska qui utilise leur site Web à cet effet. Les parents et la communauté peuvent laisser des messages aux enfants, qui sont surement une grande source de motivation scolaire pour ceux-ci. Les parents sont des acteurs principaux dans l’aspect familial de l’éducation. Ce sont eux qui ont éduqué et transmis les valeurs primaires à nos élèves. L’intégration des parents devrait être essentielle dans la vie étudiante de leurs enfants.



Premiers prezi – IPI et IS

Ma première évaluation du cours EDDS 4570 – Didactique de l’informatique consistait à assimiler et comprendre deux programmes d’études reliés au domaine de l’informatique. Selon les résultats d’apprentissages, je devais à l’aide d’un outil Web 2.0 façonner librement le programme pour lui donner un concept central et avoir au moins deux activités d’apprentissage par thèmes secondaires. Mon premier choix fut de choisir le cours Introduction à la programmation informatique (IPI) et le second Informatique et Société (IS).

Après avoir fait un remue-méninge personnel et avoir mis sur brouillon mes idées dans un document, j’ai décidé d’opter pour Prezi comme outil de présentation de ma première interprétation d’un cours d’informatique selon le nouveau programme d’études. Ce travail vous présente seulement les grandes lignes de chaque thème respectif et ses activités ne sont pas détaillées, mais il répond aux exigences du projet. Déjà que je considère que j’ai placé trop de textes, ce qui va à l’encontre des principes de Prezi.

Prezi est un outil fascinant, rapide et efficace qui dépend seulement de la vision du créateur. Par son impressionnante capacité d’agrandissement et son habileté à faire des rotations pour chaque objet, cet outil possède un potentiel dans l’exploitation de la créativité chez nos élèves et surtout un grand potentiel cognitif. En effet, pour produire un Prezi, il faut réfléchir à l’organisation, parfois surréaliste, des éléments que l’on va disposer sur cette toile interactive. Il faut aussi penser à l’ordre des informations pour assurer une bonne compréhension du message.

Pour bien apprécier un Prezi, je recommande fortement de le visionner en format plein écran (menu du bouton « More »). C’est une nouvelle technologie et j’ai remarqué que le cadrage diffère légèrement entre la version construite avec la version Prezi Desktop et la version téléversée sur le site. Il est aussi conseillé de ne pas utiliser la fonction « autoplay », car comme mon Prezi contient plus de textes qu’un Prezi normal, le défilement des sections est trop rapide pour la lecture des descriptions des thèmes.  Je tiens à préciser qu’il est possible d’utiliser notre courriel universitaire afin d’obtenir une version d’essai étudiante de 30 jours.

IPI@ : Une vie cybernétique
Néo-socio


Quelques réflexions…

Faut-il considérer le Web 2.0 dans notre pédagogie?

Selon moi, il est fortement possible d’utiliser des ressources informationnelles provenant du Web 2.0  pour enrichir l’expérience éducationnelle des élèves. Dans ce cas-ci, je souligne le terme « enrichir », car leur grande accessibilité ne doit pas devenir une excuse pour tout se procurer pour notre contenu pédagogique. L’ensemble des informations qu’on y retrouve doit être analysé de façon critique afin de déterminer la validation de celles-ci. Ce qui ne constitue pas un problème avec les manuels scolaires qui sont choisis par des agents pédagogiques. Le rôle de l’enseignant est alors de faire participer les étudiants dans une discussion sur l’usage correct des TIC et du Web 2.0 selon certains critères de la politique 311, tel le respect des droits d’auteurs. De plus, un exercice rapide sur la vérification des sources d’informations est un incontournable. Par contre, il existe plusieurs ressources pouvant être consultables, en temps réel, pour venir ajouter des informations audiovisuelles au contenu d’apprentissage de nos cours.

En tant qu’enseignant, il faut aussi considérer la grande popularité des outils Web 2.0 chez les élèves, spécialement des réseaux sociaux, et des avantages pédagogiques qu’ils pourraient offrir. Lorsque nous pensons au site de partage et de construction d’informations, comme les Wikis, nous pouvons associer à ce concept une façon de pratiquer de l’enseignement sous l’approche socio- constructivisme avec ses élèves. Certes, par son mode asynchrone d’apprentissage, on doit s’assurer que les élèves sont sérieux, responsables et autonomes. Il est facile de percevoir que l’élève pourrait dévier de sa tâche, lorsqu’il est devant un outil qui n’a pas de limites dans les possibilités d’accès à des ressources récréatives et sociales. Par contre, dans un environnement un peu plus contrôlé, tel un laboratoire d’informatique ou dans une salle de classe avec portable, on réduit considérablement le risque de perdre la concentration des élèves à la tâche. Également, lorsque je réfléchis aux outils de réseautage sociaux, je vois une belle façon de créer un plus grand sentiment d’appartenance à un groupe-classe, alors que chaque élève pourrait partager avec les autres comme étant un acteur principal dans un groupe ayant le même but dans un groupe. Encore une fois, il faut s’assurer de bien définir les attentes des élèves dans le groupe et de bien expliquer le but et le fonctionnement d’un tel groupe à des fins d’apprentissage.

Les cours en ligne et l’apprentissage

Il ne devrait pas avoir d’écart d’apprentissage entre les cours en ligne et les cours en salle de classe, car dans les deux cas, les cours sont basés sur le même programme d’études avec les mêmes résultats d’apprentissages généraux et spécifiques. Certes, l’enseignement diffère par les outils et les techniques pédagogiques utilisés, mais le contenu devrait être le même. Pour s’en assurer, il est important que l’enseignant qui offre le cours en ligne soit formé à cet effet et sait planifier son contenu de façon efficace. Il faut aussi que les élèves possèdent un minimum de connaissances technologiques pour assurer que celle-ci ne nuit pas à leur apprentissage, ce qui ne devrait pas trop être un problème de nos jours.

Les cours en ligne offrent aussi des avantages par l’utilisation d’outils à haut potentiel cognitif, la possibilité de faire du socio-constructivisme, et par l’utilisation de contenu multimédia interactifs pour capter l’attention et l’intérêt de l’élève. Il serait intéressant de faire une étude quantitative sur les résultats scolaires des cours en ligne avec ceux des cours traditionnels sur la même matière. Cette recherche n’offrirait certainement pas la vérité, mais une vue objective de la situation. Toutefois, si les cours en ligne permettent à certains élèves de réussir, lorsque les cours traditionnels échouent, alors on peut dire que le tout vaut la peine. Plus d’options offertes aux élèves équivalent à plus d’options de réussite pour ceux-ci!

Que peut faire le Ministère de l’Éducation pour aider les enseignants?

Je crois que l’utilisation de CLIC, une plateforme commune, par le ministère de l’Éducation est déjà un pas dans la bonne direction. Un outil de partage de connaissances entre enseignants, un CLIC enseignant, sera un atout nécessaire à la recherche d’outils et de logiciels éducatifs. Un endroit où les enseignants pourraient partager leurs découvertes et, idéalement, inclure avec celle-ci un tutoriel pédagogique indiquant l’utilisation de ce logiciel en salle de classe. Des logiciels à haut potentiel cognitif sont programmés à un rythme assez rapide et je comprends qu’il puisse être facile de ne plus savoir où chercher pour trouver un logiciel qui pourrait faciliter l’apprentissage d’un concept chez les élèves.

De plus, une collaboration plus étroite avec un mentor en TIC serait essentielle, car c’est une de ses tâches principales d’envisager et de tester de nouvelles technologies en salle de classe. Il devient une personne ressource qui possède une grande base de connaissances de logiciels pédagogiques. Certes, la disponibilité des mentors semble limitée, mais il doit être possible d’avoir des suggestions de celui-ci. Le Ministère pourrait augmenter le nombre de mentors ou offrir une formation approfondie aux enseignants qui désirent devenir des mentors pour leurs écoles.

Un autre moyen serait d’assurer un suivi des nouvelles technologies et des dernières avancées dans le domaine de la techno-pédagogie à l’aide des différents outils Web 2.0 disponibles. Plusieurs chercheurs et enseignants partagent le fruit de leur recherche, il suffit de créer un bon réseau de contacts informationnel. Le Ministère pourrait offrir aux enseignants une liste de tous les contacts sous cet aspect. Nous avons tous un rôle à jouer afin de faire évoluer ce nouvel approche éducative.


Les blogues de la classe d’EDUC 3503

Voici la liste des blogues des étudiants du cours Espace virtuel d’apprentissage (EDUC 3503).

http://annickguitard.wordpress.com/
http://karyne9.wordpress.com
http://brideaumartin.wordpress.com/
http://tanyaleb.wordpress.com/
http://charlesallain.wordpress.com/
http://veroniquemichaud.wordpress.com/
http://slebrun91.wordpress.com/
http://rockfranc.wordpress.com/
https://rickycsavoie.wordpress.com/
https://ems6241.wordpress.com/
https://karinelelie.wordpress.com
http://justinguitard.wordpress.com/
http://jessicamthibeault.wordpress.com/
http://jim2230.wordpress.com/
http://burkeks.wordpress.com/
http://lajoiej.wordpress.com/


Mon Big Bang, une histoire de curiosité

Comme premier sujet de ce blogue, je vais tenter d’offrir mon introspection de la création d’un trait de ma personnalité que j’estime essentielle à la poursuite de ma carrière et de ma progression dans ce monde. La curiosité, cette manifestation cognitive inscrite dans nos gènes depuis le début des temps, a permis à l’humain de découvrir et d’interpréter son environnement et d’explorer sa conscience et son humanité. En effet, dès les premiers instants de notre vie, nos sens excités par différents stimuli développent des premiers schèmes dans notre cerveau. Cette conscience primaire est à la base même de l’éveil de notre curiosité.

Selon le nouveau Petit Robert de la langue française (2007),  la curiosité est définie comme « Tendance qui porte à apprendre, à s’informer, à connaitre des choses nouvelles. »

Pour débuter, nos parents sont les premiers à nous offrir des outils pour nous faire explorer notre perception sensorielle. Du contact chaleureux sur notre peau par la mère, à la chambre d’enfants incluant nos premiers jouets pour aider nos habiletés à manipuler des objets, les premières étapes pour promouvoir notre curiosité sont présentes. Par nos premières imitations des personnes qui nous entourent, et par nos premiers pas pour se déplacer plus rapidement dans notre environnement, nous explorons constamment de nouvelles frontières. Décrire toutes les situations qui participent à notre curiosité dans cette période de la vie serait une tâche considérable dans laquelle je n’ose pas m’aventurer. Le but de ce commentaire est d’exprimer un moment marquant de mon cheminement personnel sous l’aspect du développement de ma curiosité.

Lorsque je réfléchis à mon enfance depuis la maternelle où mon apprentissage fut inspiré par ma curiosité, je considère que la lecture eut un impact considérable. Je dois commencer par remercier mes parents, qui avaient créé une petite bibliothèque remplie de livres pour enfants et certains livres de sciences. J’ai appris à me passionner pour la lecture, très tôt dans ma vie, grâce à ces quelques livres. Bien sûr, les livres ayant de belles illustrations composaient principalement mes premiers temps de lecture, mais certains livres qui ne m’étaient pas destinés m’intriguaient. Je me souviens, entre autres, du livre « Les mystères et secrets du corps humain » et « Le grand livre du monde ». Il est important de mentionner que ces livres étaient assez vulgarisés, mais les photos étaient surtout variées et assez originales. Un jour, mes parents m’emmenèrent à la bibliothèque publique et mon esprit éclata. La quantité de livres disponibles sur différents sujets et surtout la grande quantité de bandes dessinées était impressionnante. Une grande passion pour la lecture s’était installée en moi, et avec la complicité de la bibliothécaire, je pouvais emprunter le double de livres que ce qui était permis. J’ai dû consulter tous les livres de sciences pour enfants et toutes les séries de BD disponibles en quelques années. De plus, par l’observation de ce comportement, mes parents m’ont abonné à la revue « Les Débrouillards » qui constituait une bonne source d’introduction et de vulgarisation à la science. Le jumelage de l’émission télévisuelle et du magazine occupait une grande partie de mon imagination. Par cette réflexion, je réalise que la venue de l’internet et d’outils de partage de connaissances web 2.0 tels Wikipédia a rendu, pour moi, la bibliothèque un peu désuète. Occasionnellement, lorsque des sujets incitent ma curiosité, l’exploration d’informations sur cet outil, à l’aide de la multitude de liens hypertextes relatifs au premier sujet de recherche, est plus directe.

De nos jours, en tant qu’enseignant, il ne faut jamais oublier que ce principe d’informations interconnectées peut devenir la source d’édification d’une curiosité scientifique chez nos élèves. Il suffit de connaître un seul intérêt d’un élève, grâce à notre propre curiosité, pour lui offrir des pistes d’exploration diverses. Leurs activités ou leurs passe-temps possèdent une riche histoire et font appel à des mécanismes découlant d’une des sciences. Par exemple, le hockey, ce sport populaire comprend plusieurs notions de physique, de chimie, de mathématique et de biologie. On peut lier à ce sport les concepts du déplacement de la rondelle ou du patin sur la glace, de la puissance du tir par transfert d’énergie, de la formation et de la propriété de la glace (eau). De plus, on peut parler de biologie par la tension et l’utilisation des muscles dans chaque mouvement du joueur. L’analyse de ce sport est également basée sur une grande quantité de statistiques mathématiques. Certes, c’est un exemple simple, mais cela donne une idée générale des possibilités de contextualiser selon des intérêts, mais surtout de faire exploser leur curiosité.